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Site de La Baule - Phase travaux du 6 novembre 2023 au printemps 2024

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Pour mieux vous accueillir, le GIST s’agrandit : un étage est en cours de construction sur le site de La Baule.

Durant ces travaux, nous répartissons les équipes dans des locaux temporaires.
Retrouvez la liste du personnel et l’emplacement des 3 sites ci-dessous.

L'accueil est joignable au 02 40 60 60 29. 

Nouvelles adresses et répartition des équipes médicales :

11 bis allée des Petits Brivins - 44500 La Baule-Escoublac
Equipe médicale - Dr Derache / Sophie Vrignaud (assistante médicale)

20 allée des Petits Brivins - 44500 La Baule-Escoublac
Equipe médicale - Dr Lebeu / Cindy Guillas (assistante médicale)
Dr Roger / Rachel Regardin (assistante médicale)
Iris Menu (IDEST) / Fanny Merlet (assistante médicale)

16 avenue Marcel Rigaud - 44500 La Baule-Escoublac
Equipe médicale - Dr Le Guen / Angélique Chaudat (assistante médicale)
Valentine Dangy (IDEST) / Elodie Lefeuvre (assistante médicale)
Isabelle Godet (IDEST) / Elodie Lefeuvre (assistante médicale)

Téléchargez le plan des 3 sites

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Des brancards automatisés pour réduire les risques de troubles musculo-squelettiques (TMS)

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Les adeptes de séries hospitalières américaines auront peut-être reconnu ces brancards de couleur jaune ultramodernes. Et pour cause : « Ces brancards automatisés sont très répandus en Amérique. Ce sont d’ailleurs ceux que l’on aperçoit à coup sûr dans les séries et les films made in USA » glisse Josselin Fougère, co-directeur d’Urgence 44, entreprise ambulancière implantée dans la zone de Brais à Saint Nazaire. Ce matériel très performant de la marque américaine Strycker est encore très peu répandu en France où  « la démarche reste innovante ». « Très peu de sociétés sont équipées, peut-être une douzaine seulement, sur tout le territoire » souligne l’intéressé. « En Loire Atlantique, seuls 4 brancards électriques entièrement équipés circulent : 2 à Nantes ainsi que les 2 nôtres, en région nazairienne ». Urgence 44 s’inscrit en effet depuis quelques années dans un effort de modernisation et d’amélioration des conditions de travail.

brancard urgence 44 web Parce que les manutentions de brancard représentent un risque élevé d’entraîner des troubles musculo-squelettiques (TMS) pour leurs salariés ambulanciers, Josselin Fougère et Malik El Hadi, les 2 responsables associés de l’entreprise, se sont engagés dans la démarche nationale « TMS pro ». « Grâce à l’accompagnement et l’appui du médecin du travail et de l’ergonome du GIST, nous avons obtenu un financement de la Carsat des Pays de la Loire pour l’achat de ces 2 brancards électriques » explique Josselin Fougère. La société de transport médicalisé vient d’investir près de 72 000 euros au total dans ce matériel visant à réduire les efforts physiques et les risques de TMS des 5 500 prises en charge de patients à l’année. « La démarche d’amélioration était déjà engagée grâce à du matériel plus performant que le matériel classique, mais aujourd’hui, c’est encore mieux : on appuie sur un bouton et le brancard se déplie ou se replie automatiquement. Quant au mouvement de « tirer » et « pousser », il reste très limité ».

Parallèlement à la subvention régionale de la Carsat, l’entreprise a reçu une aide d’Atlantique Initiative Développement sous forme de prêt à taux 0%. « Afin que notre offre soit homogène et que nos 2 équipes journalières bénéficient du même niveau technique, nous avons pris le parti de nous munir de 2 équipements complets. Nous avons dû également nous doter de véhicules électriques adaptés, ce qui fait grimper notre investissement de manière conséquente » précise Josselin Fougère. Les équipes, quant à elles, considèrent cet équipement électrique comme un plus. Rachid, ambulancier, acquiesce : « Le brancard est plus haut et beaucoup plus maniable dans les appartements ou les petits espaces ».

Cette volonté de modernisation se retrouve aussi dans les nouveaux locaux où les 14 salariés d’Urgence 44 Saint-Nazaire se sont installés depuis l’hiver dernier. « La conception des locaux a été pensée dans un souci de bien être au travail » commente Josselin Fougère. La société ambulancière a su se différencier et souhaite aller encore plus loin : « Nous visions d’abord l’amélioration des conditions de travail et aujourd’hui, nous sommes prêts pour une autre étape : nous allons pouvoir nous engager dans la démarche sur responsabilité sociétale et environnementale (RSE) des entreprises » conclut-il.

Légende photo : Josselin Fougère et Rachid manipulent le brancard électrique

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Le rôle du médecin du travail a été central pour arriver à faire disparaître la consommation d'alcool sur le lieu de travail

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Témoignage d'Emmanuel Sabater, responsable ressources humaines chez Sea Invest à Montoir-de-Bretagne

Au cœur du terminal agro-alimentaire, en bord de Loire, l’enseigne Sea Invest surplombe un bâtiment bleu, implanté au milieu des multiples grues, trémies, portiques et engins de déchargement propres aux installations portuaires. Le groupe belge Sea Invest est implanté dans de nombreux ports européens et africains. À Montoir de Bretagne, son activité repose principalement sur la manutention de vracs solides (soja, charbon, sel de déneigement, etc).

Emmanuel Sabater est le responsable RH des cent salariés travaillant pour Sea Invest à Montoir. « Les conditions de travail se sont améliorées notamment par la mécanisation et le type des engins utilisés, par le perfectionnement des équipements de protection individuels et collectifs, et par la mise en place d’un service QHSE.» commente le RRH. En matière de santé et sécurité au travail, il y a encore beaucoup à faire : « Dans ces métiers, les mauvaises habitudes sont dures à changer. Depuis de nombreuses années, nous essayons de faire face au véritable fléau que représente l’alcool au travail et ce n’est pas simple ! » complète-t-il.

Les différentes démarches engagées n’avaient donné jusque là que de minces résultats : le remaniement du règlement intérieur de l’entreprise et mise en place de procédures pour effectuer des contrôles préventifs sur les postes à risques n’ont pas suffi. C’est finalement  l’aide du médecin du travail qui a permis de franchir « un grand pas ». « Le médecin du travail a ouvert le dialogue avec les salariés,  individuellement, et à chaque fois qu’un problème a été détecté. Puis un suivi régulier personnalisé a été proposé. » explique Emmanuel Sabater.

La société Sea Invest demeure attentive aux problématiques de santé au travail et l’action du GIST dans ce domaine est un précieux soutien : « Les progrès réalisés sont importants. La consommation d’alcool sur le lieu de travail semble avoir disparu. » poursuit le responsable du personnel. Ce dernier précise que de nombreux autres facteurs, dont certains concernent la vie privée des salariés, sont entrés en compte dans le processus, mais « le rôle du médecin du travail a été central pour arriver à ce résultat. »

« Les qualités d’écoute et de suivi du médecin du travail et les moyens dont s’est doté le GIST ont largement contribué à nous faire progresser. Il y aurait encore des améliorations à faire mais en ce qui concerne nos attentes en matière d’écoute et d’accompagnement, les objectifs sont remplis. » termine Emmanuel Sabater.

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