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Comment prévenir les chutes de plain-pied ou de faible hauteur ?

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Les chutes de plain-pied ou de faible hauteur sont la deuxième cause d'accident du travail en France.

Contrairement aux chutes de hauteur, pour les chutes de plain-pied ou de faible hauteur, les facteurs susceptibles de provoquer une chute sont souvent difficilement perceptibles : sol sale ou encombré, déplacement rapide, transport d'objet, éclairage insuffisant, etc. Le caractère dangereux des risques n'est pas manifeste, il n'alerte pas directement sur le risque de chute. De plus, la survenue de l’accident résulte le plus souvent de la combinaison de nombreux facteurs d’origines diverses.

C'est pourquoi, la démarche de prévention ne peut pas se contenter d'une simple identification des sources de dangers, elle doit intégrer une analyse globale des situations de travail.

Pour vous aider à mettre en place des actions de prévention des chutes de plain-pied dans votre entreprise, l'INRS met à disposition des fiches de prévention adaptées.

Consultez les fiches de l'INRS.

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Les lombalgies : mieux les comprendre pour mieux les éviter

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La lombalgie, douleur intense dans le bas du dos, peut être d'origine professionnelle : chute de plain pied, vibration, manutention, etc.
Pour prévenir ce risque très fréquent (4 personnes sur 5 souffrent un jour de lombalgie), les entreprises peuvent mettre en place une démarche de prévention.

En informant et en formant les salariés sur les causes des lombalgies, le risque peut être diminué. Il est aussi nécessaire de supprimer les facteurs de risque, ou à défaut les réduire au maximum, et d'évaluer régulièrement l'efficacité des mesures de prévention.

4 idées fortes pour protéger vos salariés des lombalgies :

  1. Reconnaître la douleur
    La douleur n’est pas proportionnelle à la gravité des lésions. Cependant, quand elle s’installe, toute activité physique devient pénible, voire impossible. Une prise en charge adaptée, à la fois par le corps médical et par l'entreprise, est nécessaire.
  2. Améliorer les conditions de travail pour tous
    Réduire le risque de lombalgie pour tous les salariés contribue à l’amélioration des conditions de travail. Cette démarche va contribuer au bien-être des salariés au travail et favoriser la performance de l’entreprise.
  3. Favoriser le retour au travail
    Pour aider un salarié lombalgique, il faut lui permettre de bouger. C’est le mouvement qui soigne, car c’est par le mouvement que le corps se muscle et se répare. Il faut permettre au salarié lombalgique de rester au travail, ou de s’arrêter le moins longtemps possible. Pouvoir revenir au travail dans certaines conditions permet de le remettre en confiance.
  4. Adapter le poste de travail
    Pour pouvoir reprendre (ou poursuivre) son travail, le salarié lombalgique doit se sentir attendu et soutenu. À partir de l’analyse des situations de travail, l’entreprise doit adapter les postes de travail. Des postes « cadre vert » qui respectent les conditions de travail et les contraintes physiques et psychosociales acceptables pour un salarié lombalgique doivent exister dans l’entreprise. Ils seront élaborés à partir d’une démarche participative regroupant différents acteurs des services (de prévention et de santé au travail, des méthodes, des ateliers concernés…) et validés avec les partenaires sociaux.

Consultez le livret de l'INRS "Lombalgies, les comprendre, les prévenir" pour en savoir plus

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Protocole sanitaire dans les entreprises : renforcer les gestes barrières

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Lundi 29 novembre 2021, le protocole sanitaire a été actualisé afin de mieux faire face à la 5ème vague de l'épidémie. La priorité reste le respect des gestes barrières et le port du masque en intérieur, mais de nouvelles règles pour les restaurants d'entreprise et l'organisation des moments de convivialité font aussi leur apparition.

Les principaux changements

Aujourd'hui encore, le ralentissement de la propagation du virus et la protection des personnes passe par le respect des gestes barrières. Mais cette mesure, même couplée au lavage des mains et à l'aération des bureaux, doit être accompagnée :

  • du port systématique du masque dans les lieux clos et partagés ;
  • du respect d'une distance physique d'au moins 1 mètre entre les personnes avec port du masque ;
  • d'une distanciation de 2 mètres lorsque le masque ne peut être porté.

 Plus largement, les règles du précédent protocole sanitaire ont été actualisées.

Le port du masque

Dans les locaux individuels, le port du masque n'est pas obligatoire pour les salariés, dès lors qu'ils sont seuls dans le bureau.

Dans les locaux ou bureaux collectifs, même lorsque la distanciation est suffisante, le masque reste la règle, y compris dans les lieux publics soumis au pass sanitaire.

Les cantines d'entreprises et les réunions

A table, une distance de 2 mètres doit être respectée entre chaque individu.

Les moments de convivialité

Dans le contexte actuel, les moments de convivialité dans le cadre professionnels sont suspendus.

L'aération des locaux

Il est recommandé d'aérer les pièces toutes les heures pendant 5 minutes, de préférence de manière naturelle, en ouvrant les fenêtres, afin de faire circuler l'air et de le renouveler. Cette option peut être remplacée si nécessaire par un système de ventilation mécanique conforme, en bon état et vérifié, pour assurer un apport d'air neuf. Dans ce cas, il est recommandé de mesurer le niveau en CO2 dans l'air.

Lavage des mains et des surfaces

Afin de lutter contre la propagation, il est important de nettoyer les espaces communs régulièrement, notamment les endroits pouvant être contaminés par le contact des mains (poignées, tables, sanitaires, etc.). Dans la même logique, il est essentiel de rappeler aux salariés que le lavage des mains, au savon ou au gel hydroalcoolique, est une mesure indispensable dans la lutte contre le virus.

Pas de retour au télétravail

Le protocole concernant le télétravail ne change pas. Néanmoins, les employeurs sont invités à faciliter sa mise en place, dans le cadre d'un dialogue social de proximité et en tenant compte des enjeux d'organisation du travail, des risques liés à l'isolement des salariés ou encore de la difficulté à respecter les gestes barrières. Il est recommandé de mettre en place 2 à 3 jours de télétravail en prenant en compte les contraintes liées à l’organisation du travail et à la situation des salariés.

Le référent COVID-19

Afin de faciliter la mise en place de ces mesures, il est recommandé de désigner un référent COVID-19. Dans les entreprises de petite taille, il peut être le dirigeant. Il aura pour mission de communiquer les mesures aux employés et de vérifier que celles-ci sont bien respectées.

 Pour plus d'informations, consultez le protocole sanitaire du 8 décembre 2021.

EMPLOYEURS, la santé et la sécurité qu service de votre entreprises

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